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8 juil. 2013


5 juil. 2013

Avec le beau temps général qui s'annonce pour ce week end, 64secondes remet au goût du jour une adresse à ne pas manquer pour profiter au mieux du soleil!
Fonçez déjeuner au Chalet des Iles. Le restaurant propose un cadre exceptionnel à Paris et sa carte, moins onéreuse que sa voisine La grande cascade. Il a été en travaux toit l'hiver pour faire peau neuve cet été !

Vous aurez un avant gout de vacances en prenant les bateau qui vous amènera sur l'île. Le calme qui règne vous fera oublier la ville et les bois alentours sont un spot bronzage parfait pour terminer votre après midi (et préparer votre teint!)

Après cela profitez en pour faire une ballade à pied, à vélo ou à la rame… Les jardins de bagatelle juste derrière sont à visiter!

Vous repartirez revigoré pour mieux affronter la ville après avoir eu l’impression de vous être offert une escapade provinciale.

Avouez, vous respirez déjà mieux…




Bon week end!

2 juil. 2013

Passez votre timeline Facebook sur cette plateforme développée par Amnesty International New Zealand. Elle vous rendra son verdict en appliquant les règlements de chaque pays. Une expérience qui permet d’ouvrir les yeux sur le monde et ses notions de droit.



Battue 25 fois, torturée 4 fois, emprisonnée 6 fois, fouettée, tuée par des extrémistes… mon crime ? Indiquer sur les réseaux sociaux être une femme, athée, boire de l’alcool (démasquée par la page Pandor sur FB!) ou tout simplement posséder un compte Facebook (interdit en Birmanie).

Un destin sombre qui pourrait s’appliquer à beaucoup d’internautes s’ils étaient nés en Afghanistan, en Iran, à Mexico, en Syrie, au Qatar, en Russie, et bien d’autres endroits encore où la démocratie n’est pas appliquée.

Au Viêt Nam, un blogueur a été condamné à 12 ans de prison pour ce que le gouvernement appelle de la propagande «anti-État». Un citoyen égyptien a été arrêté et maltraité pour certains de ses commentaires sur Internet.



Le site Trial by timeline nous rappelle que parfois qu’exprimer une simple opinion peut coûter la vie à certains, passée la frontière. Il sonne comme une piqûre de rappel à tous ceux qui, aujourd’hui, sont libres de tweeter, poster, bloguer, parce que libres dans leur pays.
source: docnews
 
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